Le JS2 de dragon est une maquette basique sans détail intérieur, qui n’a pas de vice, qui se monte sans surprise et assez rapidement. Les chenilles par maillon sont toujours un peu délicates à assembler car elles doivent être collées et j’ai galéré pour peindre les bandes blanches car le masquage sur des surfaces arrondis est compliqué. Le Wagon Dragon est du même ordre, la difficulté a été de le découper proprement et de le faire tenir mais ça se monte facilement. Le canon antiaérien de Das Werkt est également facile et rapide à monter sauf pour l’alignement des tubes et des freins à bouche, c’est un kit de bonne qualité. Les différentes mises en couleur sont classiques, pré ombrage, lavis, brossage, écaillures et empoussiérage avec pigment et poussière de brique.
Les figurines viennent de dragons pour les allemands, de tamiya, Stalingrad et D-Day pour les russes. Vu la quantité de fig à peindre, je ne me suis pas amusé à trop les modifier. J’ai peut être juste changer qlqs armes car celle en résine étaient parfois cassées ou fragiles.
Le vrai challenge c’est la mise en scène qui associe une base d’usine trouvée sur internet comprenant la porte, le toit et une partie du mur que j’ai modifié et mixé avec des éléments scratchés et gravés à base de carton plume, mousse isolante, evergreen, pots de petis suisse, gravats de vrai brique, éléments de la boîte à rabiot. Une fois peint, on saupoudre de pigments, de poussière de brique et de plâtre pour bien salir et homogénéiser l’ambiance.